Une convention a été signée entre l’entreprise et l’E2C pour formaliser des actions.
Une nouvelle convention a été signée entre l’école de la 2 chance et Veolia eau Aube et Haute-Marne. « Nous établissons ce type de convention avec une dizaine de grandes sociétés présentes dans la région mais nous comptons également 1200 entreprises qui accueillent nos stagiaires », rappelle Florian Mouchel, délégué territorial E2C. « Avec cette convention, nous nous engageons dans diverses actions comme l’intégration de jeunes de l’E2C dans des stages de deux semaines de découverte des métiers ou encore des visites en groupe de nos installations », ajoute Gildas Clochard-Bossuet, directeur de territoire Veolia eau Aube et Haute Marne. C’est dans ce cadre qu’un groupe de jeunes est venu visiter la station de dépollution des eaux usées de Barberey, qui traite les eaux usées des particuliers et des entreprises de l’agglomération troyenne. Un équipement géré par Veolia qui compte 85 collaborateurs répartis sur deux départements. « Le traitement des eaux usées fait intervenir différents métiers dans lesquels il y a aujourd’hui des opportunités d’emplois, le groupe Veolia ayant son propre campus intégré formant des jeunes aux professions de l’eau, du recyclage, de l’environnement et de l’énergie », précise le responsable de Veolia.
AGRANDIR LA PALETTE DES MÉTIERS ACCESSIBLES
« J’aimerais bien devenir électricien dans les énergies renouvelables », explique par exemple Julien, élève de l’E2C en stage pour deux semaines chez Veolia. Un projet professionnel dont il pourra discuter avec les trois jeunes alternants actuellement en formation dans l’entreprise. Dans la filière, les perspectives d’emploi existent, en particulier dans le métier d’électrotechnicien. C’est justement l’un des objectifs de ce type de convention que de confronter des jeunes de 16 à 25 ans à la réalité des métiers. « Les jeunes que nous suivons sont pour la moitié du temps en entreprise : plus nous aurons de sociétés partenaires, plus nous pourrons leurs proposer de solutions et leur montrer que l’accès à un très grand nombre de métiers est toujours possible », conclut Florian Mouchel.