C’est un projet qui évolue depuis bientôt dix ans, porté par Bouygues Immobilier : la première pierre de La Corderie a été posée mercredi 24 avril.
Le chantier du nouvel ensemble résidentiel La Corderie a désormais officiellement commencé. Aujourd’hui, 70% des 77 logements sont d’ores-et-déjà vendus et 55% des acheteurs sont des Marnais – familles, séniors et investisseurs – et 10% d’entre eux sont des investisseurs franciliens.
Avec un prix moyen qui se situe à 3 800 €/m2, le succès commercial de La Corderie s’explique par sa position géographique idéale (à la croisée de plusieurs espaces verts – le parc Léo Lagrange, l’arboretum de la Comédie de Reims – et tout proche du stade et de la Cathédrale de Reims), mais aussi par des choix techniques recherchés, tels que des appartements en attique (construits en retrait par rapport à la façade), chacun avec balcon ou terrasse, mais aussi des logements connectés : « Le pack domotique est un véritable atout pour les acquéreurs, souligne Florence Hauvette-Schaetzlé, directrice générale Est de Bouygues Immobilier, promoteur de la résidence. Et nous comptons aussi fédérer les voisins entre eux, via l’utilisation d’une application mobile ». Modernité, éco-responsabilité, commodité et civisme de voisinage : il reste encore 27 lots disponibles à la vente, avant la livraison prévue au premier trimestre 2021.
EN PIERRE, ENDUIT ET ALU
Deux bâtiments, dont la volumétrie est séquencée entre R+3 à R+5, sur sous-sol semi-enterré, vont bientôt sortir de terre et proposer des logements résidentiels, du studio au T5. La Corderie se veut ouverte sur tous les espaces, avec une construction pensée en L. Cette conception attentive est le fruit d’un travail de confiance et de coopération de plusieurs années, puisque les collectivités, Bouygues Immobilier et la famille Didier sont en pourparlers depuis dix ans. Mais depuis la promesse de vente en avril 2016 et la démolition des bâtiments en octobre 2018, tout s’est accéléré sur le site très prisé de la chaussée Bocquaine ; site déjà promis à d’autres grands changements, avec le projet Rives de Vesle.
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(Photo: Agathe Cèbe)
