Stéphane Rivière propose un service de force de vente externalisée sur-mesure à destination des PME.
Après une vingtaine d’années d’expérience en tant qu’ingénieur d’affaires dans le secteur de l’informatique de gestion, le Rémois Stéphane Rivière s’est lancé dans l’aventure entrepreneuriale suite à un constat : « De nombreuses entreprises m’expliquaient qu’elles rencontraient des problèmes avec leurs forces commerciales, que ce soit au niveau du recrutement ou du développement. L’idée m’est alors venue de mettre en place une structure pour les accompagner, sur le terrain ou au sein de leur entreprise ».
En 2013 il crée alors SRI Suppletive, pour venir en appui des entreprises en leur proposant une force commerciale externalisée, selon plusieurs options.
« Ces interventions peuvent aller de la mission courte pour donner un coup de fouet au secteur commercial à un instant donné jusqu’à des mis- sions plus suivies, de quelques semai- nes, voire plusieurs mois », explique le chef d’entreprise qui s’adresse essentiellement aux petites entités et aux dirigeants qui se sentent parfois seuls et désarmés face à cette problématique commerciale épineuse et pourtant vitale dans le développement de l’entreprise.
ALTERNATIVE AU RECRUTEMENT
Stéphane Rivière peut aussi intervenir de manière récurrente, à raison d’une action par semaine, au gré des besoins. « C’est vraiment une prestation sur-mesure, avec une durée à la carte selon les demandes du client avec qui nous pouvons établir un diagnostic en amont », précise-t-il.
S’il est le principal intervenant auprès de ses clients, il peut également faire appel à d’autres indépendants en renfort à ses côtés en cas de besoin en compétences complémentaires par exemple (marketing, communication…). Après six ans d’existence, le chef d’entreprise rémois souhaite faire mieux connaître son activité à l’heure où les recrutements sont de plus en plus compliqués, notamment dans le secteur commercial.« J’ai des clients un peu partout en France, mais j’aimerais intervenir davantage au niveau local, dans le Grand Est et en Ile-de-France », explique le chef d’entreprise rémois.