Benoît Dave, agriculteur à Attigny, issu de la liste FNSEA-JA, a vu sa mission à la tête de la chambre consulaire prolongée.
A l’occasion de la session d’installation de la nouvelle assemblée plénière de la chambre d’agriculture des Ardennes, le 21 février, les trente-trois membres élus pour six ans lors du scrutin du 6 février (dont seize nouvelles têtes) ont procédé à la désignation du président et du nouveau bureau de cette structure professionnelle. Sans surprise, Benoît Dave, agriculteur à Attigny, Issu de la liste FNSEA-JA, majoritaire aux élections de janvier, a vu sa mission à la tête de la chambre consulaire prolongée (19 voix sur 25). Il détenait le poste de président depuis le 15 mars 2018 suite à la démission de Sébastien Loriette. Le nouveau Président a engagé la nouvelle session à poursuivre la dynamique engagée au service de l’agriculture ardennaise et des hommes et femmes qui la font vivre.
Il sera soutenu dans sa tâche par un bureau composé de huit autres personnes dont Bruno Faucheron, 1er vice-président et Sarah Bourtembourg, secrétaire.
Lors de leur mandature, les 33 élus chargés de représenter les intérêts de toutes les composantes du monde agricole auprès des pouvoirs publics et des collectivités territoriales vont s’attacher à contribuer à l’amélioration de la performance économique, sociale et environnementale des exploitations agricoles et de leurs filières.
Ils seront ainsi chargés de d’accompagner la démarche entrepreneuriale, la création d’entreprises et le développement de l’emploi dans ce milieu professionnel. Tout en agissant à travers les actions et services qu’ils proposeront à la mise en en place du développement durable des territoires ruraux et des entreprises agricoles, à la préservation et à la valorisation des ressources naturelles et à la lutte contre le changement climatique.
La Chambre d’agriculture ardennaise bénéficie pour élaborer cette stratégie de ressources budgétaires émanant de la taxe additionnelle à la taxe sur le foncier bâti (FATFNB); des prestations des agriculteurs et de diverses subventions (collectivités territoriales, agences de l’eau, fonds CASDAR…).