Deux ans d’existence pour Rimbaud’Tech

L'incubateur ardennais vient de lancer son quatrième appel à projets depuis son ouverture en 2017. (Droits réservés)

L’incubateur Rimbaud’Tech poursuit sur sa lancée avec de nouvelles candidatures d’entreprises innovantes.

L’incubateur Rimbaud’Tech vient de célébrer son deuxième anniversaire au 75, avenue Forest. Ces festivités ont été marquées par la présence d’un show-room privé des start-up incubées dans les locaux de Terciarys depuis 2017, des témoignages et retours d’expérience et une animation « pitch ma start-up ».

TREIZE PROJETS INCUBÉS DEPUIS L’OUVERTURE

Depuis son ouverture en septembre 2017 à l’initiative d’Ardenne Métropole et de la Caisse d’Epargne Grand Est Europe, l’incubateur Rimbaud’Tech soutenu par la région Grand Est a pour vocation de contribuer à la création d’entreprises innovantes dans les Ardennes. La structure propose plusieurs services dont l’incubation d’entreprises innovantes et la location de bureaux partagés au sein de l’espace de coworking.

Sous l’impulsion de son directeur, Jérémie Pawelczyk, l’incubateur carolomacérien a réussi à tripler ses effectifs avec treize projets incubés. Les dernières start-up arrivées à Rimbaud’Tech représentent des domaines aussi variés l’un que l’autre : mutualisation d’espaces de stockage, location ultra flexible d’espaces à destination de professionnels de santé, développe- ment d’un paramoteur électrique, et valorisation de métaux précieux.

UNE STARTER’CLASS DE TROIS MOIS

Rimbaud’Tech vient de réitérer un deuxième appel à projets pour l’exercice 2019. Et, tout au long du mois de septembre, l’association par le biais d’un jury interne a détecté, reçu et examiné avec soin les diverses candidatures. Les porteurs de projets qui seront retenus en fonction de la maturité de leur dossier et de leur motivation intégreront alors dès octobre une Starter-Class pour une durée de trois mois avant un nouveau pas- sage devant le comité de sélection pour continuer leur avancée durant une période de 18 à 24 mois.

Tous les domaines sont acceptés sans distinction : de la biotechnologie à l’économie sociale et solidaire en passant par les arts et le numérique.